Trois Échos de la Casbah
Trois ruelles, trois angles, une même âme. Chaque tableau révèle une facette du vieux quartier — ses murs usés, ses escaliers secrets, ses silences habités. Différentes mais familières, ces ruelles racontent une histoire commune : celle d’un lieu qui résiste au temps et murmure ses souvenirs à chaque pierre.
Ce que l’on offre, ce que l’on arrache — fragments d’une humanité partagée
Quatre tableaux célèbrent la douceur : fleurs, oiseaux, un chien, des papillons — autant de figures légères, offertes au regard. Le cinquième rompt cette harmonie : la Maison des Esclaves de Gorée, seuil d’un arrachement, lieu de mémoire d’une violence historique. Réunis, ces tableaux confrontent deux visages de l’humanité : le désir de plaire, de créer du beau — et la capacité de détruire. Une série sur la coexistence du fragile et de l’irréparable.

































