Quatre Ciels du Hoggar
Quatre paysages, quatre états d’être. Chaque ciel reflète une émotion — du chaos à la clarté, du doute à la force. Une traversée intérieure, peinte à ciel ouvert.
De Racines et de Récits : Quatre Temps d’un Cœur
Un arbre nu, un arbre en fleurs, des feuilles tombées, puis des éclats abstraits cousus comme des fragments d’âme. Cette série évoque le cycle de transformation — de la perte à la floraison, du souvenir à la reconstruction
Trois Échos de la Casbah
Trois ruelles, trois angles, une même âme. Chaque tableau révèle une facette du vieux quartier — ses murs usés, ses escaliers secrets, ses silences habités. Différentes mais familières, ces ruelles racontent une histoire commune : celle d’un lieu qui résiste au temps et murmure ses souvenirs à chaque pierre.
"Voyage d’une Résilience : De l’Ombre à la Lumière"
Cette série de quatre tableaux retrace un chemin intérieur, celui d’une âme qui traverse la nuit pour retrouver la clarté. Chaque œuvre incarne une étape de transformation — du repli douloureux à l’éveil combatif.
Blue d’origine — là où le silence est force
Un territoire sans frontières, habité par des présences souveraines. Le bleu relie les corps et la terre, comme une mémoire ancienne. Ici, le silence n’est pas absence — il est fondation.
Quatre bouquets jamais envoyés
Ils portent le désir de plaire, de toucher, mais restent là — intacts, disponibles, silencieux. Ce sont des figures de l’attente, de ce qui aurait pu être donné, mais ne l’a pas été.
Ce que l’on offre, ce que l’on arrache — fragments d’une humanité partagée
Quatre tableaux célèbrent la douceur : fleurs, oiseaux, un chien, des papillons — autant de figures légères, offertes au regard. Le cinquième rompt cette harmonie : la Maison des Esclaves de Gorée, seuil d’un arrachement, lieu de mémoire d’une violence historique. Réunis, ces tableaux confrontent deux visages de l’humanité : le désir de plaire, de créer du beau — et la capacité de détruire. Une série sur la coexistence du fragile et de l’irréparable.
Mes Totems
Quatre figures veillent, gardiennes d’instants tendres et de présences aimées. Le cinquième, librement inspiré de Baya, affirme la force d’un héritage. Ensemble, ils forment un cercle — intime, protecteur, vivant.
